«Une
transcription littérale vaudrait mieux qu'un pareil ouvrage ? Sans aucun doute.
Et que l'homme qui se sait capable de l'executer se hâte de l'entreprendre. Pour
moi, le temps me manque pour la réaliser. Je ne puis faire qu'en raccourci un
travail soigné et sûr. A défaut du texte original, les historiens et les chercheurs
préfèreront au néant l'imparfait résumé.
Cyrille
Labrecque ptre
chanoine
honoraire.
Québec,
10 mai 1741.».
Ce chanoine décrit bien le dilemme
devant lequel tout copiste est placé dans l'exécution de son travail. Il est
rare comme dans le cas présent de le mettre par écrit et de l'insérer dans le
registre même de l'état civil.
[Summary :
Some personal remarks from a copyist
in the church records of Saint Jean, Île-d'Orléans, Québec.]
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