«Sept : d’un inconnu. peut être Ls Vésina du Cap St-IgnaceUne interrogation : l’utilisation de l’expression «cimetière des étrangers» signifie-t-elle qu’un terrain spécifique existait à cet effet? ou une autre façon de nommer la partie non consacrée du cimetière utilisée dans la plupart des paroisses dans de tels cas?
Le vingt huit juillet, mil huit cent cinquante et un, a été inhumé dans le cimetière des étrangers en cette paroisse avec la permission du coroner le corps d’un homme trouvé noyé à l’Ange-Gardien le samedi précédent. L’inhumation s’est faite en présence de Joseph Maheu et François Giroux paroissien du lieu.
Jos : Assselin ptre curé».
Noter que, sur la même page du registre et en date du 17 juillet 1851, cette même expression est également utilisée dans un acte de sépulture d’un autre homme inconnu trouvé noyé.
Le nom évoqué dans la marge pour l’identification du noyé origine vraisemblablement de l’enquête du coroner qui a été alors menée.
Nos remerciements à Jean-Pierre Fortin pour avoir porté cet acte à notre attention.
[Summary :
The church record for the burying of a man drowned in L’Ange-Gardien, Québec.]
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