«Je regrette la mal-propreté de certaines pages de ce régistre, la cause est celle-ci : je fus pris d'une maladie de suff. durant plusieurs mois, ce qui ma mis, pour ainsi dire dans l'impossibilité d'écrire d'une manière convenable.
F.G. ptre».
Un tel aveu est rare dans les registres de l'état civil. Par ailleurs, on ne peut s'empêcher de penser que d'autres rédacteurs auraient pu faire de même ailleurs en raison de la piètre qualité de leur écriture qui rend difficile la lecture de certains actes.
[Summary :
A personal information from a priest pertaining to the poor writing of some church records in Saint-Adelphe, Québec.]
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