«B.
19 Marie Corinne Langevin
Le
onzième jour d'aout mil huit cent quatre vingt neuf, nous prêtre soussigné,
professeur au Collège Joliette, avons baptisé Marie Corinne, née le neuvième
jour du courant, du légitime mariage de Onésime Langevin cultivateur de cette
paroisse et de Wilhelmine Mercier aussi de cette paroisse. La parrain a été Siméon
Mercier cultivateur de cette paroisse et la marraine Marie Rouleau son épouse.
Le père, le parrain et la marraine ont déclaré ne savoir signer.
A
Lesieur Ptre Onésime
Langevin Siméon Mercier Marie Rouleau».
La seule explication pouvant peut-être justifier le fait que
ces signatures ont été biffées tient au fait qu'elles sont placées après celle
du prêtre officiant; si cette hypothèse est véridique, il s'agit là d'une
situation pour le moins étonnante.
[Summary :
The church record for the baptism of
a girl in Sainte-Anne du Sault, Québec.]
1 commentaire:
Bonjour,
J'ai remarqué, pour certain registre, que le curé en recopiant le 2ième registre, recopiait aussi les signatures, alors que d'autres font signer les 2 registres.
Interessant votre blog, je viens souvent le lire.
Bonne journée
Jacynthe
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