«L'an mil sept cent cinquante neuf, le quatorze septembre, a été inhumé dans le cimetiere de cet hopital le corps de francois boucher, selon ce que nous ont rapporté ceux qui l'ont apporté mort, lesquels nous ont dit qu'ils pensaient que c'était là la son nom, canadien, tué à l'affaire du 13; en foy de quoy j'ai signé
Rigauville ptre chane».
Dans un contexte de conflit armé, l'identification correcte d'une personne décédée est rendue plus difficile. Le prêtre officiant doit se fier aux témoignages de personne qu'il ne connaît pas comme dans le présent cas. Pour le chercheur, un doute surgit sur la véritable identité du défunt.
[Summary :
The church record for the burying of a militiaman in Québec, Québec.]
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