«pendant le colera de 1832, la terreur était universelle, quand le peuple
s'asemblait à l'église, plusieurs se trouvait mal, c'est pour cela qu'on ne
chantait point la messe le dimanche.
Les
gens de la montagne depuis chez Fériol Brochu, jusque chez François derouin
vienent pendant neuf jours, tous les soirs lir a l'eglise, en faisant des prieres,
pour demander à Dieu la grâce de bien mourir.
J Bte Bernier ptre».
Ce document manuscrit est inséré entre les feuillets
63 et 64 de la seule copie religieuse du registre pour cette année.
[Summary
:
An handwritten document in the the church records of Saint-Anselme, Québec.]
An handwritten document in the the church records of Saint-Anselme, Québec.]
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