Le 1er septembre 1832, Jean-Baptiste Caillouette, résidant de la paroisse St-Joseph de la Pointe de Lévy, est à Ste-Marie de Beauce dans le but de ratifier un marché devant le notaire Jean-Marie Bonneville [# 1892] avec Michel Paradis, maître-charpentier et menuisier de ce lieu, Antoine Villade, curé de cette paroisse, Louis Turcotte et Étienne Vachon dit Pomerleau.
Les deux premiers s'engagent à construire un clocher sur la chapelle Ste-Anne. Les travaux commenceront le lundi suivant pour se terminer à la Toussaint. Il est notamment prévu de poser une croix, une boule et un coq. Le prix de ces travaux est de 40 livres payables le 1er juillet 1833. Il s'agit ici de la deuxième chapelle démolie en août 1891 et qui était érigée à l'emplacement de la chapelle de pierre actuelle.
Devant le même notaire le 10 septembre 1832, un marché et un arrangement [# 1904] interviennent entre Jean-Baptiste «Caillouet» et Michel Paradis. Selon cet arrangement, Jle premier sera reconnu être l'entrepreneur du clocher prévu au contrat du 1er septembre 1832; pour sa part, Michel Paradis s'engage à travailler à la journée pour lui; ce dernier recevra 9 chelins par jour de travail.
[Summary :
Two contracts for the construction of a steeple for the chapel in Ste-Marie de Beauce.]
vendredi 2 mai 2008
Le clocher de la chapelle Ste-Anne de Ste-Marie de Beauce
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