Le 26 octobre 1818, Jean Bélanger, notaire, et Augustin Gauthier, maître-forgeron, signent un bail avec Jean-Baptiste Caillouette devant le notaire Étienne Boudreau (# 338) à titre de syndics de la paroisse St-Roch de Québec. Après une criée publique faite le dimanche 25 octobre précédent, un banc de trois places de l'église lui est adjugé; il s'agit du banc # 13 dans l'allée Notre-Dame, côté gauche. Le loyer est de 3 livres et 10 chelins annuellement et payable aux 6 mois.
Le 29 décembre 1819, les deux mêmes syndics de la même fabrique louent devant le même notaire (# 766) un banc à Jean-Baptiste Caillouette. Ce banc porte le numéro un dans les «galleries» du coté de l'Évangile où quatre places sont allouées pour une durée de cinq ans dans la seconde rangée et pour le coût annuel de trois livres et quinze chelins, payable à chaque six mois.
Le 17 octobre 1823, Jean-Baptiste Caillouette signe avec les syndics de cette même paroisse représentés par le bourgeois Joseph Gagné et le charron Jean-Baptiste Thomas dit Bigaouette, un baildevant le même notaire (# 2485) pour la location d'un banc pour cinq ans au coût annuel de quatre livres. Il s'agit du banc de trois places remis par Joseph Cantin et portant le numéro trois, allée St-Roch, coté droit. La criée publique et l'adjudication avaient eu lieu le dimanche 12 octobre précédent à «...l'heure des Vêpres».
Jean-Baptiste Caillouette est l’époux de Marie-Thècle Levasseur et est membre de la troisième génération des descendants de Gilles Caillouet.
[Summary :
Three sales by auction for a church bench in St-Roch parish in Québec city.]
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