La copie religieuse des
registres de la paroisse Notre Dame de Québec pour le 6 août 1837 fait état de
l’acte de baptême suivant :
«B. 491. J. Germain Drolet.
Le six Août
mil huit cent trente huit, nous prêtre, vicaire de Québec, soussigné, avons
baptisé Joseph Germain, né le même jour, du légitime mariage de Pierre Drolet, Marchand,
et de Victoire Menard, de cette paroiSse. Parrain Germain Drolet ; marraine
Louise Drolet, qui ont Signé avec nous. Le père a déclaré ne savoir signer.
Louise Drolet
Germain Drolet
A. Beaudry P.V.».
Dans la marge, on peut
lire l’annotation suivante :
«A épousé, le 28 sept. 1915, à St-Jean-Baptiste de Québec, M. Ad. Alv.
Tardif J. C.
C. ptre».
Vérification faite dans la
copie civile du registre, Joseph Germain Drolet a épousé Marie Adelina Alvine
Tardif le 27 septembre 1915 dans la
paroisse Saint-Jean-Baptiste de Québec. Un bel exemple pour illustrer l’intérêt
et la pertinence de vérifier le contenu d’une annotation marginale ; dans ce
cas, on peut déchiffrer les abréviations des prénoms de l’épouse, apprendre que
l’époux était alors veuf de Mary Susanne Craig et, enfin, constater que la date
du mariage est erronée et que l’épouse a signé «Alvine Tardif» au bas de l’acte.
[Summary :
The church record for the baptism of a boy in Québec, Québec.]
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