vendredi 29 février 2008

Né(e) un 29 février

L’année 2008 est une année bissextile, soit une année qui revient tous les quatre ans et dont le mois de février compte 29 jours.

Pour une personne née à un 29 février, un des inconvénients est de ne pouvoir célébrer son anniversaire la journée même qu’une fois tous les quatre ans. De fait, sur les autres plans, ces personnes se distinguent-elles des autres et, dans l’affirmative, de quelle façon? Une façon de vérifier cela dans une histoire de famille est d’isoler les personnes nées cette journée et de comparer leur vie avec les autres ancêtres ou descendants.

Un des descendants de Gilles Caillouet est né un 29 février; il s’agit de Jean-Louis Caillouette, né à Bonaventure, le 29 février 1868 et baptisé le 1er mars. Il est membre de la cinquième génération des descendants de l’ancêtre; il est le fils de Siméon Caillouette et de Marie-Geneviève Bujold. Comme nous ne connaissons rien d’autre de lui, il nous est impossible de vérifier s’il se distingue des autres descendants.


[Summary :

Born on the 29th of February.]

jeudi 28 février 2008

Des vétérans méconnus

La Guerre du Vietnam a été un des conflits majeurs du vingtième siècle. Sa durée, le nombre de personnes impliquées, le nombre de morts et de décès sont là pour le rappeler.

Un aspect peu connu de ce conflit tient au fait que des Canadiens ont servi sous le drapeau américain dans les Forces armées américaines durant ce conflit. Leur nombre se chiffre en dizaines de milliers. Un documentaire produit en 2003 par les Productions Pixcom sous le titre Des québécois au front illustre bien à travers les témoignages de trois de ces vétérans que cette aventure a été difficile à divers points de vue.

Une section de la Canadian Vietnam Veterans Association, l’Association Québécoise des Vétérans du Vietnam, veille aux intérêts de ces vétérans. Cette Association a notamment contribué à l’érection à Melocheville au Québec d’un monument funéraire à la mémoire de ceux qui sont morts ou sont portés disparus au Vietnam.

Sous la rubrique Nos héros, cette Association a compilé une liste de ces vétérans qui sont décédés en raison de ce conflit. Il s’agit d’un extrait en anglais d’une base de données de la U.S. National Archives & Records Administration intitulée U.S. Military Personnel Who Died (Including Missing and Captured Declared Dead) as a result or the Vietnam conflict, 1957-1995.

Les informations sont présentées sous les rubriques suivantes : le nom, le grade, le service, la ville de résidence, l’état, la date de décès, le lieu du décès, la date de naissance et la raison du décès.


[Summary :

Some forgotten veterans who served under the Americas flag during the Vietnam conflict.]

mercredi 27 février 2008

Au temps où le troc était monnaie courante

Au Québec, les transactions entre particuliers n’ont pas toujours été faites moyennant l’échange de numéraire pour la valeur de la transaction convenue. De fait, la rareté du numéraire a souvent été la principale raison expliquant que de nombreuses transactions se sont faites en ayant recour au troc.

Des complications peuvent survenir lorsque les modalités d’un troc ne conviennent pas aux parties. L’exemple suivant en constitue un bel exemple.

À Québec le 24 juin 1819, le notaire Charles Dugal se rend en compagnie de Jean-Baptiste Caillouette auprès de François Ouellet en vue de loger un protêt [Protest] tel qu’en fait foi l’acte # 750.

La rencontre a lieu près du Palais de Québec à bord du navire appartenant au sieur Boulé où se trouve François Ouellet; ce dernier réside dans la paroisse St-André du district de Québec. Les 400 planches qui se trouvent à bord font partie d'un lot de 700 planches que François Ouellet doit à Jean-Baptiste Caillouette et qui ont été payées d'avance par 15 quintaux de «biscuits». 300 planches avaient été livrées l'année précédente.

Jean-Baptiste Caillouette prétend que le lot actuel n'est pas du «...bois marchand» et refuse de le recevoir avant qu'il ne «...soit reçu pour bon bois par les inspecteurs de bois». De plus, François Ouellet est alors avisé qu'il est responsable des dommages pour un montant de 22 chelins pour dix sacs de toile que Jean-Baptiste Caillouette avait empruntés et lui avait prêtés pour mettre son «biscuit» et qu'il a laissés pourrir par sa négligence.

François Ouellet répond alors qu'il refuse de faire inspecter le bois à bord et qu'il ne doit pas de bois marchand. Le menuisier François Bornais et le marchand Charles Rochette, qui demeurent au Faubourg St-Roch de Québec, sont présents à titre de témoins.

Commentaires :

- lors d’un troc et malgré la diversité de la marchandise ou des services en cause, il est essentiel que les parties s’entendent sur une valeur commune;
- cet acte illustré également les liens commerciaux que Jean-Baptiste Caillouette entretenait avec la Côte du Sud, sa région natale, pour son approvisionnement en matériaux de
construction;
- un biscuit est une galette qui servait d’aliment de réserve sur les navires;
- un entrepreneur en construction a davantage d’occasions qu’un autre citoyen de faire du troc;
- noter la mention des inspecteurs de bois et le fait que le propriétaire du navire avait chargé un autre de le faire naviguer.
[Summary :

An example of battering in Québec City.]

mardi 26 février 2008

Un fichier orphelin

Lors de recherches effectuées sur Internet, il arrive à l’occasion de tomber sur une information qui présente de l’intérêt mais dont on ne connaît pas les «tenants et aboutissants». Dans un tel cas, il est plus difficile pour un chercheur d’en évaluer la pertinence ou la fiabilité.

À titre d’exemple, il est possible de consulter en ligne le fichier intitulé : Index des mariages de la région de Sorel, Québec, Canada. L’écran se présente alors sous l’aspect d’une série de patronymes; en cliquant sur l’un d’entre eux, les informations relatives à ce mariage apparaissent : le nom des conjoints, le nom des parents, le lieu et la date de mariage.

Le problème avec ce type de fichier est que le chercheur qui le consulte ignore des éléments importants pour en établir la pertinence et la fiabilité. Par exemple, de quelle façon le fichier a-t-il été constitué? Des vérifications ont-t-elles été faites? dans l’affirmative, de quelle nature et de quelle manière? Quelle est la portée territoriale du fichier? à cet égard, les quatre mariage listés pour le patronyme Caouet ont été célébrés à Cap St-Ignace, soit loin de la région de Sorel!

Commentaires :

- il est indiqué que le fichier a été produit par la Société de généalogie Les Patriotes Inc basée dans la ville de Sorel;
- comme cette dernière société n’a pas de site Internet et n’est pas membre de la Fédération québécoise des sociétés de généalogie, obtenir des précisions sur ce fichier constitue une tâche malaisée à moins de le faire par la poste, un moyen peu pratique pour un chercheur.

[Summary :

An example of an online orphan database.]

lundi 25 février 2008

Des bases de données sur les Grands Lacs

La Bowling Green State University (BGSU) située dans la ville de Bowling Green en Ohio a mis en ligne des bases de données sur les Grands Lacs sur le lien suivant : Historical Collections of the Great Lakes.

Les trois bases de données portent sur les navires [Vessels], les ports [Ports] et le personnel maritime [Maritime Personnel]. La recherche doit être menée pour chacune de ces bases de données.

En raison de la localisation stratégique des Grands Lacs entre les États-Unis et le Canada et de la richesse de l’information disponible dont plus de 90 000 images de navires, la consultation de ces bases de données peut s’avérer intéressante pour un chercheur.


[Summary :

Three online databases on Great Lakes.]

dimanche 24 février 2008

Une source sur l’histoire américaine

La Library of Congress des États-Unis est une institution prestigieuse et importante. Par son volet American Memory, elle permet un accès en ligne à une partie importante de ses collections et ce dans une perspective éducative.

Le matériel disponible est fort diversifié; il comprend des imprimés, des enregistrements, des images, des cartes… La recherche peut se faire par thème ou par collection.

Il y a là une mine d’informations qui permet à un internaute de mieux comprendre le contexte de l’histoire de ce pays.

[Summary :

American Memory provides free and open access to different sources that document the American experience.]

samedi 23 février 2008

Miser sur un capital de sympathie

Au Québec, la généalogie et l’histoire de famille ont toujours joui d’un important capital de sympathie auprès de la population peu importe l’âge. La tenue d’un salon permet de vérifier concrètement l’ampleur et la qualité de cet appui.

La Fédération des familes-souches du Québec (FFSQ) tient du 22 au 24 février 2008 le 9e Salon des familles souches au centre commercial Laurier Québec. Sous le thème 400 ans d’histoire familiale, 82 familles et partenaires y sont représentés dont 69 associations de famille.

Pour une association de famille, un tel salon constitue une occasion rêvée de faire contact avec le public et de faire connaître son existence et ses activités. Plusieurs d’entre elles en profitent pour recruter de nouveaux membres, vendre des produits dérivés ou recueillir de l’information sur des personnes portant leur patronyme.

Les stands ont une allure mieux réussie que par les années passées et leur disposition permet une plus grande fluidité de circulation pour le public. Cette année, des exposés sont présentés dans un espace réservé au milieu du trafic de ce centre.

L’identification de chacun des stands est franchement raté et, d’un certain point de vue, disgracieux. Des panneaux aux couleurs et avec le logo et le nom du commanditaire, le Groupe Desjardins, identifient le locataire des stands. L’effet visuel est catastrophique, la couleur verte, le logo et le nom de Desjardins ressort partout. Il y a fort à parier qu’Alphonse et Dorimème Desjardiins ne sont pas fiers du traitement que leur groupe a réservé à ce Salon.

[Summary :

The Ninth Salon des familles souches in Québec City.]

vendredi 22 février 2008

L'agrandissement d’un quai dans le port de Québec

Le 7 juillet 1817, une entente intervient devant le notaire Laughlam-T. McPherson entre le marchand de bois de Québec William O'Brien et Jean-Baptiste Caillouette en vue d'agrandir de 40 pieds dans le fleuve Saint-Laurent un quai situé à l'«Anse des Morts». Ce quai est la propriété de ce marchand; il doit être construit, d'ici le 16 août, à la même hauteur que le quai Molson situé à proximité. Le marchand s'engage à fournir les matériaux nécessaires et versera la somme de 19 livres et 5 chelins. Il est fait mention que ce contrat, rédigé uniquement en anglais, a été interprété en français pour Jean-Baptiste qui a signé «Baptis Cailloutte».

Le 19 septembre 1817, ces mêmes parties conviennent devant le même notaire d'un règlement négocié [arbitration bond]. Comme les deux parties ne s'entendent pas sur la façon dont le quai mentionné à l’acte précédent doit être agrandi, ils s'en remettent au jugement de deux experts. Ces derniers sont le charpentier de navire John Munn et le charpentier Jean Baptiste Bédard. Ce deuxième acte est signé «J. Baptis Caillouette».

Commentaires

- en dépit de la graphie dans le premier document, il y a lieu de croire que le notaire fait plutôt référence à l'Anse des Mères;
- cette entente témoigne des l’effervescence qui règne alors à Québec autour des
activités portuaires alors en plein développement;
- l’usage de la langue anglaise s’impose pour les marchands anglais dans une ville qui compte alors une forte proportion d’anglophones, particulièrement dans le milieu des
affaires.
[Summary :

A deal to lengthen a wharf in Québec City harbour.]

jeudi 21 février 2008

Des chantiers nécessaires mais difficiles

Une des objectifs visés en généalogie et en histoire de famille est de traiter de tous les ancêtres ou descendants d’une famille donnée. Cela implique de connaître toutes les personnes hommes ou femmes, ce qui est assez facile en généalogie. En effet, les actes de l’état civil font normalement référence aux personnes concernées et au Québec, comme une femme ne perd pas son nom même après un mariage, la recherche est habituellement possible.

Pour une histoire de famille, la réalité est fort différente et traiter des femmes constitue alors un défi de taille. Cela tient notamment au fait que la capacité juridique n’a été obtenue par les femmes que depuis peu; une des conséquences a été de faire en sorte qu’une femme ne pouvait passer un contrat sans l’accord de son mari, ce qui a réduit grandement la passation de tels actes.

Comme les femmes doivent figurer dans toute histoire de famille pour des raisons qui relèvent autant de du gros bon sens, de l’équité que d’un devoir de mémoire faisant état de leur parcours souvent insolite ou remarquable, il faut s’atteler à la tâche à partir des sources possibles.

En plus des sources familiales ou de la tradition orale, ces sources d’information peuvent comprendre :

- les registres de l’état civil (une femme peut y être mentionnée à titre de fille, d’épouse, de marraine ou de témoin);
- les archives notariales;
- les archives judiciaires (ici, les femmes tout comme les enfants y sont moins
présentes);
- les photographies (après le milieu du 19e siècle);
- les monographies locales, la correspondance, un journal personnel, les livres de comptes…

À l’évidence, une femme qui sait signer et dont la famille dispose de ressources financières supérieures à celle de son entourage laisse davantage de traces dans l’histoire. Par ailleurs, même un examen attentif des sources disponibles ne pourra, dans plusieurs cas, compenser l’absence ou la rareté de l’information.

Ces réflexions ont été formulées à la suite d’un exposé, le 20 février 2008, de Guy Parent, devant les membres de la Société de généalogie de Québec. À cette occasion, ce dernier a présenté avec beaucoup de détails la vie fort intéressante de Jeanne Badeau, une femme d’exception. Une partie de son exposé a fait l'objet d'un article intitulé «Jeanne Badeau et Pierre Parent» publié dans la revue L’Ancêtre, numéro 277, volume 33, hiver 2007, p. 109-118.

[Summary :

To make reference to women in a family history is often quite a challenge.]

mercredi 20 février 2008

Des photos de la Côte-du-Sud

Le site de la Société Historique de la Côte-du-Sud renferme sous la rubrique Photos de nombreuses images de coin du Québec.

Les photographies sont regroupées par municipalité et par «institution». En cliquant sur le nom d’une municipalité, une autre classification apparaît. Les rubriques les plus intéressantes sont : Architecture, Personnages et Paysages. Par ailleurs, il est conseillé d’examiner le contenu de chacune des rubriques disponibles pour y découvrir des photos intéressantes et qui illustrent différents moments de la vie locale.

Les photographies sont identifiées et certaines d’ente elles font l’objet sous la rubrique «Portée» d’une description plus élaborée; parfois, le nom des personnes concernées est fourni.

Une façon agréable, instructive et peu coûteuse de visiter ce coin de pays.


[Summary :

Some photos from Côte-du-Sud in Québec.]

mardi 19 février 2008

Le site du WIGenWeb Project Cemetery Tombstone Photograph Pages

Le projet décrit ci-dessous fait partie du volet Wisconsin du USGenWeb Archives Project. Il s’agit de photographies de pierre tombales situées dans différents cimetières du Wisconsin.

La recherche dans les Cemetery Tombstone Photograph Pages doit se faire par county et par cimetière ; une liste des personnes mentionnées sur ces pierres tombales est alors disponible. Le site compte actuellement 229 156 photos.

Il y a lieu de se rappeler que les sépultures ne sont pas toutes surmontée d’un monument et que, pour certains d’entre eux, les inscriptions ont pu être effacées au fil du temps.

Au bas de la page d’accueil, ce site fournit les liens pour trois autres projets intéressants et pour certains complémentaires : le Map Project Wisconsin, le Tombstone Project Wisconsin et le Census Project Wisconsin.

L’état du Wisconsin présente un intérêt particulier pour un chercheur du Québec en raison du fait qu’il a été très fréquenté par des Québécois.

Un bel exemple de source créée et maintenue par deux bénévoles, Larry et Linda Kopet.


[Summary :

A site for pictures of headstones of Winconsin’s cemeteries.]

lundi 18 février 2008

Une liste de cimetières pour le Québec

L’Association des cimetières catholiques romains du Québec a mis en ligne sur son site Internet, une Liste de cimetières de ses membres.

Les cimetières sont classés par nom de ville et les informations fournies sont : le nom de la (ou des) paroisse(s), l’adresse du cimetière, le numéro de téléphone et de télécopieur, l’abréviation du diocèse et, pour certains d’entre eux, l’adresse courriel et le lien pour le site.


[Summary :

A list of catholic cemeteries in Québec.]

dimanche 17 février 2008

L'adjudication de bancs dans l'église St-Roch

Le 26 octobre 1818, Jean Bélanger, notaire, et Augustin Gauthier, maître-forgeron, signent un bail avec Jean-Baptiste Caillouette devant le notaire Étienne Boudreau (# 338) à titre de syndics de la paroisse St-Roch de Québec. Après une criée publique faite le dimanche 25 octobre précédent, un banc de trois places de l'église lui est adjugé; il s'agit du banc # 13 dans l'allée Notre-Dame, côté gauche. Le loyer est de 3 livres et 10 chelins annuellement et payable aux 6 mois.

Le 29 décembre 1819, les deux mêmes syndics de la même fabrique louent devant le même notaire (# 766) un banc à Jean-Baptiste Caillouette. Ce banc porte le numéro un dans les «galleries» du coté de l'Évangile où quatre places sont allouées pour une durée de cinq ans dans la seconde rangée et pour le coût annuel de trois livres et quinze chelins, payable à chaque six mois.

Le 17 octobre 1823, Jean-Baptiste Caillouette signe avec les syndics de cette même paroisse représentés par le bourgeois Joseph Gagné et le charron Jean-Baptiste Thomas dit Bigaouette, un baildevant le même notaire (# 2485) pour la location d'un banc pour cinq ans au coût annuel de quatre livres. Il s'agit du banc de trois places remis par Joseph Cantin et portant le numéro trois, allée St-Roch, coté droit. La criée publique et l'adjudication avaient eu lieu le dimanche 12 octobre précédent à «...l'heure des Vêpres».

Jean-Baptiste Caillouette est l’époux de Marie-Thècle Levasseur et est membre de la troisième génération des descendants de Gilles Caillouet.


[Summary :

Three sales by auction for a church bench in St-Roch parish in Québec city.]

samedi 16 février 2008

Les cautionnements de mariages au Canada

Bibliothèque et Archives Canada possède 10 826 cautionnements de mariages pour le Haut-Canada (Ontario), 1803-1865, (RG5 B9), et le Bas-Canada (Québec), 1779-1858, (RG4 B28).

Il est notamment fait état dans la présentation de la vase de données que :

«Les cautionnements de mariages n'étaient de rigueur que pour les mariages protestants par licence. Le futur marié devait être cautionné par une ou deux personnes qui le connaissaient et qui étaient prêtes à garantir à la Couronne qu'il n'existait pas d'entrave d'ordre juridique au mariage. Après avoir obtenu le cautionnement, une licence était émise. Le mariage était célébré généralement
quelques jours plus tard



La base de données Cautionnements de mariages pour le Haut-Canada et le Bas-Canada fournit un accès à ces cautionnements de mariages. Les renseignements fournis sont : le nom du futur époux, le nom de la future épouse, le lieu de résidence, la référence, le volume, le numéro du cautionnement, la date et le numéro de bobine de microfilm.


[Summary :

An online database on marriages bonds in Canada.]

vendredi 15 février 2008

L’engagement de BAnQ dans le patrimoine documentaire

Un communiqué récent de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) fait état de la présentation, le 18 février 2008, d’un mémoire dans le cadre de la consultation publique organisée par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine en vue d’une révision de la Loi sur les biens culturels.

Cette consultation fait suite à la publication d’un livre vert. Dans un message publié sur ce blogue le 11 janvier 2008, nous avions fait part de nos commentaires sur ce livre vert :

«Le traitement des archives et du patrimoine documentaire est alors considéré comme un élément situé nettement en périphérie du patrimoine culturel, ce qui explique le silence du document à ce sujet. Par ailleurs, on peut déplorer qu’une réflexion analogue à celle qui vient d’être menée sur le patrimoine culturel n’a pas été menée en parallèle sur le patrimoine documentaire. Un tel exercice aurait permis notamment de dégager une vue d’ensemble, de préciser les objectifs et les cibles à atteindre, de suggérer des stratégies adaptées et d’alimenter une compréhension partagée de ce secteur

La présentation du mémoire de BAnQ répond en partie à nos interrogations en cette matière. Intitulé Le patrimoine documentaire : une composante essentielle du patrimoine culturel québécois, ce document, qui comporte 13 recommandations, souligne l’urgence de reconnaître au patrimoine documentaire québécois la place qui lui revient au sein du patrimoine culturel du Québec et d’en assurer de façon adéquate la conservation, la diffusion et la mise en valeur.

Commentaires :

sur le mémoire

- il est heureux que BAnQ fasse entendre sa voix en cette matière;
- de plus, le message est porteur : le mémoire montre bien que le patrimoine documentaire fait partie intégrante du patrimoine d’une nation et qu’il faut le mettre
correctement en valeur;
- la lecture de ce court mémoire de 17 pages permet d’apprécier la justesse et la pertinente des recommandations formulées;
- une telle lecture permet également de prendre connaissance d’un intéressant portrait à grands traits de l’état des lieux en cette matière et de certains des défis qui doivent être relevés;
sur la présentation du mémoire

- dans le cadre d’une telle consultation publique, le mémoire d’une institution est habituellement présenté et soutenu par sa direction;
- dans ce contexte, il est étonnant que la présidente-directrice générale ne se charge pas elle-même de cette tâche;
- d’aucuns pourraient y voir là un désintéressement au regard de cette partie du mandat de BAnQ;
- il est vrai que le contexte est fort particulier : lors de l’élaboration du livre vert, le patrimoine documentaire a été volontairement mis de côté et ce par un groupe relevant directement de la ministre responsable; en termes de baseball, les sportifs appellent une telle situation «…se présenter au bâton avec deux prises
contre soi
».
Le contenu de ce mémoire doit être pris en considération dans le cadre de la consultation publique; dans ce domaine, il ne sera jamais trop tard pour bien faire.


[Summary :

A report of Bibliothèques et Archives nationales du Québec on documentary heritage as an essential component of cultural heritage.]

jeudi 14 février 2008

Les archives de l’état de Washington

Les archives des états américains sont fort différentes d’un état à l’autre ; il en est de même de la possibilité et de la façon d’y effectuer une recherche.

Les archives de l’état de Washington sont en partie mises en ligne par le Secretary of State sous l’appellation Digital Archives.

La recherche peut être effectuée par patronyme ou par mot clé et elle couvre actuellement plus de 32 millions de documents divers (état civil, archives foncières, naturalisation, photographies…). Pour plusieurs des occurrences, il est même possible de visionner en ligne l’image du document original.

L’intérêt pour un chercheur québécois tient à ce que cet état a hébergé de nombreux Québécois au fil des années.


[Summary :

The Washington State Digital Archives web page.]

mercredi 13 février 2008

Une façon toute simple

Une des préoccupations constantes des sociétés de généalogie est de tenter par divers moyens de publiciser et de faire connaître au public et surtout à leurs membres leur existence et leurs activités.

Pour ce faire, elles ont recours à divers moyens tels la mise en ligne d’un site Internet, la distribution d’affiches ou de publicité imprimée, ou encore l’envoi de courriels en vrac ou de communiqués. L’information visée porte notamment sur les aspects suivants : leurs ressources, leurs coordonnées (postale, téléphonique, télécopieur, courriel, site Internet), les heures d’ouverture.

Une façon toute simple et complémentaire de contribuer à une bonne diffusion de cette information consiste à utiliser des cartes d’affaire imprimées recto verso.

Depuis quelques semaines, la Société de généalogie de Québec (SGQ) a fait imprimer et distribue de telles cartes. En plus des informations mentionnées plus haut, on y trouve les armoiries de la Société et même un espace pour la prise d’une courte note. La présence de ces armoiries en couleur permet notamment de repérer rapidement ces cartes parmi d’autres analogues.

Pour la SGQ, André G. Bélanger s’est inspiré d’une carte de ce type diffusé par le centre d’archives de Québec de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) pour en produire une davantage réussie. Il s’est chargé de la composition et de la faire imprimer; de plus, il a confectionné un joli présentoir en bois et qui a été placé sur le comptoir à l’accueil. Il apportait là une réponse rapide et adaptée à des suggestions formulées en ce sens.

Bref, un outil bien fait, utile, pratique et peu coûteux. D’autres sociétés de généalogie devraient s’inspirer de cette heureuse initiative et bien pensée.


[Summary :

Business cards can make useful tool for a genealogical society’s publicity.]

mardi 12 février 2008

Une poursuite intentée par un marchand

Dans les documents de la Cour du Banc du Roi (# 6291), on peut lire en date du 24 septembre 1808 que le marchand [...auctioner and broker] de la ville de Québec, William Burns, intente une action pour dette contre le cordonnier «Amable Kahouette».

Dans sa déclaration, ce marchand expose qu'il a vendu à ce dernier des marchandises pour la somme de 27 livres et qu'il n'a pas été payé. Dans une déclaration datée du 18 août 1808, son commis, François Bélanger, déclare qu'il a livré les souliers vendus. Il est fait état également d'un compte daté des 15, 16 et 18 juillet de la même année pour des souliers [...calf shoes].

Le 1er octobre 1808, une sommation à comparaître en cour est signifiée au «...domicile d'Amable Kahouette...en la Basse ville de Québec rue de la montagne..». La suite donnée à cette poursuite n’est pas connue.

Pouvoir localiser la résidence d'un ancêtre n'est pas très fréquent. Noter la variation de la graphie du patronyme; une telle situation est fréquente avec une personne qui ne sait signer.

François-Amable Cayouette est l’époux d’Élisabeth Chevalier; il fait partie de la troisième génération des descendants de Gilles Caillouet.


[Summary :

An action taken by a merchant in Québec City.]

lundi 11 février 2008

L’histoire locale et les registres de l’état civil

Lors de la consultation des registres de l’état civil, il est parfois difficile de lire ou de déchiffrer le nom (et la signature) de personnes mentionnées dans un acte.

Dans le cas du prêtre qui a agi à titre d’officier de l’état civil, il est souvent possible de l’identifier en faisant appel à une autre source. Il s’agit de vérifier si une monographie locale a été produite sur l’histoire de la paroisse. En effet, ce type de document renferme la plupart du temps une liste des prêtres (curés ou vicaires) qui ont officié dans la paroisse; on peut connaître ainsi le nom du prêtre, la période de sa présence dans la paroisse et parfois même une photographie [ils affichent tous un air sévère…].

Le recours à ce truc nous a permis d’aider un chercheur américain, Stephen J. Danko, à identifier certains prêtres qui ont apposé leur signature au bas d’actes de l’état civil dans la paroisse du Cap Saint-Ignace au Québec. Pour les détails sur ces cas, voir les messages en anglais datés des 5, 7, 8 et 9 février 2008 et publiés sur le blogue de ce dernier.


[Summary :

The content of a local parish history’s monograph may be useful to identify the priest who keep the church records.]

dimanche 10 février 2008

Le site Oregon Historical Records Index

Mis en ligne et tenu par le Oregon Secretary of State, la consultation du site Oregon Hisrorical Records Index permet d’accéder à une partie de l’information contenus dans les archives de l’état de l’Orégon.

La recherche peut être effectuée par patronyme; dans le cas des naissances dans la ville de Portland [Portland Births], une recherche particulière est requise.

L’intérêt de ce site pour un chercheur du Québec tient à ce que de nombreux Québécois se sont installés dans cet état.


[Summary :

An online search page for some Oregon State Archives.]

samedi 9 février 2008

La légitimation d’un enfant

Les registres de la paroisse St-Antoine de l’Isle-aux Grues pour le 15 novembre 1882 font état de l’acte de mariage suivant :


« Le quinze novembre mil huit cent quatre vingt deux, vu la dispense de publication de bans accordée par Mgr l’Archevêque de Québec en date du trois novembre courant, en faveur de Joseph Gagné, fils mineur de Joachim Gagné, journalier, & de Flavie Vézina, d’une part, et Rose Fortin, fille majeure de Charles Fortin & de Rose, d’autre part, tous de cette paroisse; vu aussi qu’il n’existe aucun empêchement de mariage entre eux, nous curé soussigné avons reçu leur mutuel consentement de mariage et leur avons donné la bénédiction nuptiale, en présence des témoins sous nommés. Et les dits époux, reconnaissant qu’un enfant baptisée en cette paroisse le trois mai dernier, sous le nom de Marie-Anne & dont les parrains ont été Narcisse Lebel & Joséphine Fortin, est leur propre enfant, ils déclarent vouloir la légitimer à toute fin que de droit. Ont été témoins aux présentes. Charles Fortin, frère de l’épouse & Edouard Lemieux soussigné avec l’épouse; les autres n’ont su signer lecture faite.
Rose Fortin Edouard Lemieux
J. B. Plamonndon ptre.»

Ce mariage a été réhabilité le 3 décembre suivant après qu’une dispense du quatrième degré double de consanguinité a été accordée.

Commentaires :


- la légitimation d’un enfant n’est pas neutre au sens de la loi; ainsi, cet enfant sera notamment désormais considéré sur le même pied que les autres advenant un partage découlant d’une succession;
- ce type d’acte n’est pas très fréquent dans les registres de l’état civil.

Nos remerciements à Gisèle Vézina pour avoir porté cet acte à notre attention.


[Summary :

A church record which legitimate a child.]

vendredi 8 février 2008

Un incident lors de la Guerre civile américaine

Le site footnote [voir le message du 4 décembre 2007] permet de consulter en ligne divers documents historiques relatifs aux États-Unis. Certains d’entre eux traitent de la Southern Claims Commission. Ces documents concernent des demandes formulées par des citoyens des états du Sud qui ont subi des dommages du fait de la Guerre civile américaine.

Une de ces demandes (# 5500) est datée du 29 juillet 1871 et a été formulée par Lucien J. Caillouet qui demeurait alors près de Thibodaux, Lafourche Parish en Louisiane. Les dommages subis le 19 décembre 1862 totalisent 5 320 $ et se ventilent comme suit :

- 18 mules évaluées à 150 $ chacune;
- 7 chevaux évalués à 150 $ chacun;
- 4 voitures [large plantation wagons] évalués à 80 $ chacun;
- 25 tonnes de foin évalué à 30 $ la tonne;
- 500 barils de mais évalués à 1 $ le baril.
Le demandeur fait état que ces biens ont été pris sur sa plantation par le capitaine L. E. Locke pour les besoins de l’armée des États-Unis. Il est notamment précisé que des témoins ont aperçu les chevaux dans le camp de la First Louisiana Cavalry et les mules affectées au transport de fourrage. Les témoins qui signent à l’appui de sa demande sont : Frank Legendre, Alfred Engerran, Joseph Parr, Michel Conrad, Sylvain Morvant, Wilson King, Jefferson Weidon (?) et Clairborne King. La demande est signée «Lucien Caillouet» même si, à quelques occasions, il est fait référence au demandeur comme étant «Lucian J. Caillouet».

Lucien Joseph Caillouet a épousé Éveline Benoit, Émélie Bergeron et Aimée Lagarde. Il fait partie de la quatrième génération des descendants de Gilles Caillouet.


[Summary :

One of the demand filed before the commissioners of the Southern Claims Commission.]

jeudi 7 février 2008

Un descendant se marie à Québec

Le 7 janvier 1807, les registres de la paroisse de Notre-Dame de Québec font état du mariage d’«Amable Cailloûet» :

«Le 7 janvier mil huit cent sept après la publication d'un ban de mariage & la dispense des deux autres entre Amable Cailloüet, cordonnier domicilié en cette ville, fils majeur de François Cailloüet et de Catherine Tardy de la paroisse de Kamouraska d'une part, & Elizabeth Chevalier aussi domici­liée en cette ville fille aussi majeure de feu Jean-Baptiste Chevalier cy devant Perruquier, et de défunte Louise Lemyre de cette paroisse d'autre part, ne s'étant dé­couvert aucun empêchement, nous Vicaire soussigné avons reçu leur mutuel consentement & leur avons donné la bénédiction nuptiale en présence de Jacob Heck, et John Shea amis de l'é­poux, et de Jean-Baptiste Chevalier oncle paternel de l'épou­se et de Jean-Baptiste Chevalier fils, cousin germain de l'épouse et de plusieurs
autres parens et amis des époux dont les uns ont signé, les autres avec les
époux ont déclaré ne le savoir faire.
F. Chevalier Jr Jacob Heck
J Be. Chevalier John Shea
? ? Jos Casby
François Pagé Jerome ?
Willm Burrell
Ant. Tabeau ptre vic
».


Le 4 janvier 1807, François-Amable Kallouette, «...maître cordonnier de Québec» et «Élisabethe Chevallier» avaient signé un contrat de mariage devant le notaire Roger Lelièvre prévoyant la communauté de biens et la donation mutuelle entre les futurs époux. Le douaire est alors fixé à 1 000 livres et le préciput à 500 livres. Les époux ont alors déclaré ne savoir signer.

Commentaires :

- il s’agit du premier de descendants de Gilles Caillouet à s’établir et à se marier dans la ville de Québec;
- noter que la graphie du patronyme qui varie selon les documents; une situation fréquente lorsqu’un descendants ne sait signer.
[Summary ;

The church record of a marriage in Québec City.]

mercredi 6 février 2008

Des informations sur New York

Il n’existe pas de liste unique pour les données de l’état civil pour l’état de New York. Par ailleurs, des listes fragmentaires existent notamment pour la ville de New York et ses environs. Compte tenu du poids démographique de cette dernière, de telles informations sont bienvenues.

Une des rubriques du site Brooklyn Genealogy Information Page permet de consulter diverses listes relatives à des mariages, à des divorces ou à des décès. Des liens sont également fournis pour d’autres listes hébergées ailleurs. La recherche doit être effectuée pour chacune de ces listes.

On y trouve notamment un mariage entre Josephine Cailouette et August Manis le 5 février 1870 à Manhattan. Il nous reste à vérifier si elle est une des descendants de Gilles Caillouet.


[Summary :

Online information on marriages and deaths in New York.]

mardi 5 février 2008

Les soldats canadiens morts en Normandie

Lors de la bataille de Normandie, plusieurs militaires de divers pays y ont laissé leur vie. Une des rubriques du site 1944 La bataille de Normandie la mémoire renferme une liste des soldats décédés à cette occasion.

Cette «liste des combattants alliés de la Bataille de Normandie» est classée par pays et les liens sont fournis pour les monuments, les stèles et les stèles qui perpétuent leur nom et leur mémoire en Basse-Normandie. Différents autres aspects (les monuments, les vestiges, les témoignages…) sont traités de manière inégale. Ce site constitue un complément utile à celui de la bataille de Normandie en photos traité dans notre message publié le 24 janvier 2008.

[Summary :

A list of the Allied soldiers who died during the Battle of Normandy.]

lundi 4 février 2008

La collection d’images du Musée McCord

Sur le site Internet du musée McCord de Montréal, il est notamment possible de faire une recherche en ligne dans leur collection d’images. Ces 135 000 images (photos, estampes, cartes postales…) sont souvent complémentaires à celles que l’on trouve sur d’autres sites dont le Portail de Bibliothèque et Archives nationales du Québec (BAnQ) ; elles présentent différents aspects de la vie quotidienne.

La recherche peut être notamment faite par patronyme, toponyme ou thème. Plusieurs de ces images peuvent illustrer éloquemment le contexte local ou historique d’une histoire de famille.

Ce site est bilingue.

[Summary :

An online collection of images from the McCord Museum.]

dimanche 3 février 2008

Le site mainegenealogy

Plusieurs Québécois qui ont émigré aux États-Unis se sont installés dans l’état du Maine. La localisation de cet état qui jouxte le Québec à l’est explique pour quelles raisons il a toujours constitué une destination importante pour les gens du Québec et ce encore de nos jours.

La recherche en ligne d’informations sur cet état est facilitée par la consultation du site mainegenealogy. Mis en ligne par Christopher L. Dunham, ce site est de loin celui qui renferme le plus d’informations intéressantes pour le chercheur en généalogie et en histoire de famille.

À titre d’exemples, les occurrences pour les descendants de Gilles Caillouet sont : 1 Caillouet, 5 Caillouet et 52 Cayouette.

Il est à noter que le moteur de recherche permet trois choix : Exact, Starts With et Soundex.

[Summary :

The best online site on Maine for genealogists and family historians.]

samedi 2 février 2008

Un rapport d’arbitrage

Dans le greffe du notaire Charles-Herménégilde Gauvreau de Québec en date du 2 décembre 1817, un rapport d’arbitrage (# 381) est rédigé par ce dernier.

Ce rapport met en cause Louis Audet et «Jean Baptiste Caillouet», maîtres-charpentiers de maison tous deux demeurant au Faubourg St-Roch de cette ville. Ces deux derniers se son rendus, à la réquisition de Joseph Barbeau, maître-couvreur demeurant au Faubourg St-Jean, visiter une maison située sur la rue du Roi et la propriété du demandeur.

Selon les deux experts, cette maison n'est pas faite de manière à devenir logeable en raison du fait que les bois qui ont servi à la construction sont «...entièrement gâtés et hors de service». Les deux experts sont aussi d'opinion qu'il serait moins coûteux d'employer du nouveau bois que de faire servir à nouveau le bois utilisé. Ce rapport est signé «Baptis Cailouette».

Cet exemple illustre bien que les problèmes liés à la construction d’un bâtiment ne datent pas d’hier et que le recours à une tierce partie pour en établir le constat permet de protéger ses droits.

Jean-Baptiste Caillouette est l’époux de Marie-Thècle Levasseur et est membre de la troisième génération des descendants de Gilles Caillouet.

[Summary :

An arbitration report for a house in Québec City.]

vendredi 1 février 2008

L’utilitaire WorldCat

Repérer un ouvrage ou une œuvre est facilité par le recours à l’utilitaire WorldCat. Ce dernier est un catalogue unique qui décrit chacun des ouvrages des collections de plusieurs dizaines de milliers de bibliothèques dans le monde.

La recherche peut être faite par un titre, un sujet ou un nom de personne. Les résultats fournissent toutes les coordonnées permettant de décrire et de localiser un ouvrage. Le recours à cet utilitaire permet d’enrichir certains aspects d’une histoire de famille.

[Summary :

The world’s largest bibliographic database online.]